A une question sur le dernier round de Genève qui n’a réalisé aucun progrès et à propos de la déclaration de France qui a imputé à la Syrie la responsabilité, le président al-Assad a indiqué qu’il est normal de ne pas rejeter la responsabilité aux groupes qui travaillent dans leurs intérêts. «Ces déclarations de France et d’autres pays occidentaux confirment que ces groupes travaillent dans leurs intérêts et non pas dans l’intérêt de la Syrie ou de la patrie ».
« La France était, dès les premiers jours, le fer de lance en soutenant le terrorisme en Syrie, et sa main est imprégnée de sang syrien. La position française n’a pas changé de façon radicale jusqu’ici. La France n’a aucun droit d’évaluer une conférence de paix. Ceux qui soutiennent le terrorisme n’ont pas le droit de parler de la paix », a-t-il ajouté, tout en affirmant que les Français n’ont pas le droit de s’ingérer dans l’affaire syrienne et toutes leurs déclarations ne nous intéressent pas et sont sans valeur.